25 juin 2010

On est le vingt cinq, je pense que y'a personne qui sais ce que représente ce jour pour moi. Demain, c'est le vingt six et ça vas franchement me faire drôle demain, ça vas marquer la fin matériel de quelque chose et ça vas surement me démolir plus qu'autre chose. Pourquoi je dis que on est le vingt cinq pour parler finalement du vingt six, et bien parce que je suis plein de contradiction pardi. Ma gorge me fais moins mal, je dois dire que avec toutes ces gélules radioactives soit je guérit soit je deviens un X-men. Ou autre chose qui a rapport avec la mutation, oui-oui : j'ai penser aux tortues ninja mais je côtoie qu'un chat, alors si c'est pour devenir un chat ninja, très peu pour moi. Et me voilà donc à près de quatre heure du matin à être trop lessivé pour écrire concrètement sur un projet, et dormir... J'ai les idées ailleurs.
J'ai soif. J'écoute l'album de Chinatown, encore et encore, je crois que je l'emporterai avec moi sur une ile déserte si je devais partir là bas. Et aussi un lecteur cd, sinon...

Pouh, je m'accorde quelques minutes de déprime publique, aujourd'hui j'ai sortis ce que j'aime appeler mon "book" où il y'a l'accumulation de plusieurs de mes projets, achevés, inachevés, en esquisse... Des choses montrables, par ci, par là. Depuis, j'ai le cafard. J'ai replongé dans la Ligue, j'ai relus ce que j'avais écris sur S.t.t.b., une accumulation de pixel art, putain ça me manque. Des poèmes, et dire qu'avant je penser publier ici, j'ai l'impression de m'être vachement asséché. J'ai peut être bien muter avec le temps, et sans avoir besoin de ses conneries de pilules. J'ai franchement du mal avec ce que je suis devenus. C'est comme ça la vie je crois, c'est ces choix à la con où quoi que l'on choisissent de faire, on perde, vivant.

Voilà, j'hésite sur la façon de terminer cette article, soit de joindre une vidéo, soit un vieux poème, qui n'aura jamais était publier, tant bien que mal. Et tant bien même lequel ?
Je tourne la roulette de ma souris. Teh, c'est pas un paradoxe ça ? Enfin bon à cette heure, je dois être le seul dans mon délire. Aseptisé. Finalement mes poèmes sont trop personnel pour apparaitre ici, même au bout d'une telle nuit. 
Je suis assez fière de ce que j'ai fait, de ce que j'ai inventer, Arcana et mes mots. Ce que j'ai étais dans ces moments. C'est d'avantage ce que je vais devenir qui me pose soucis. 

Aller pour ceux qui auront lu jusqu'au bout, je vous laisse les premières lignes de ma saga spatial... Les fautes sont pas corrigés et sinon, c'est la discution entre le capitaine anciennement affecté sur le Walhalla et le capitaine qui tiendra le rôle principal, et qui comme on s'en doute, reprendra le commandement, et oui, c'est pas tellement que de gâcher l'intrigue de notifier cela ici car de toute façon sans ça : pas d'histoire...


- Alors Capitaine comment vous trouvez ?
- En une semaine d'essais j'ai pas fait grand chose.
- Pour ma part, j'ai eu le temps de constater vos capacités d'adaptation, j'ai étais plutôt pas mal surpris...
- Il est vrai que je sais m'adapter, j'en connais un rayon sur ce genre de machine !
- Je suis proche de la retraite et on vient de me muté sur une planète fraichement terraformée, si vous voulez la mission elle est pour vous.
- Je suis pas sur de m'entendre avec l'officier...
- Qu'est ce que vous voulez dire par là ?
- Il a l'air lent. Il pose toujours des questions et elles ne sont pas très constructives.
- C'est son jeune age...
- Oh, vous savez l'age c'est une connerie... Si je peux me permettre, c'est l'excuse de ceux qui sont jeunes et con ou vieux et con ! En tout cas, c'est qu'une excuse de con !
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